jeudi, décembre 20

Jeudi 20 décembre 2007

L'approche des fêtes...l'approche des vacances (attendues impatiament..).
Ce matin, en allant au lycée, je regardais avec émerveillement le gel...Tout brillait, comme dans un monde féerique...Tout était recouvert d'une fine couche blanche de gel. C'était magique. J'avancais, pas trop vite, pas envie d'aller au lycée. Fatiguée.
Une envie de repos, de ne rien faire. Comme quand je reste collée à mon radiateur, assise par terre, écoutant de la musique et me perdant dans mes pensées...Je m'envole le plus loin pssible, loin de tout...Je réfléchis et je pense...qu'y a t-il de mieux?
Et puis quelquesfois, je fais le vide d'une journée en plus, une journée de trop...d'autrefois, je m'arrête juste quelques secondes...Parce que le temps va plus vite que notre ombre, tout s'enchaîne. Comme dans une musique, ça avance sans jamais s'arrêter, sauf quelques secondes, puis, ça s'accélère...Alors je m'arrête pour pouvoir souffler, rien qu'un instant.
Je me dis que les vacances seront bientôt là, que je pourrais vraiment m'arrêter, que je pourrais lire, écrire, dormir (très important!)...Et ne rien faire. Dernier effort à fournir avant de finir cette longue année...Avant de recommencer encore une fois...Mais autre chose...

Kanaillou

lundi, novembre 26

Lundi 26 Novembre

Je ne comprends pas la réaction des médias quant aux évènements qui se sont produits dans la banlieu de Villier-le-Bel la nuit dernière...
Les médias présentent le fait comme un accident , certes, mais un accident dans lequel les jeunes auraient forcément été en tort...et où la police aurait eu un comportement exemplaire!
Je suis désolée, mais présenter les faits ainsi est une provocation! Certes, les deux jeunes gens ne portaient pas de casque...Mais pourquoi la police ce serait elle enfuie rapidement après l'accident si elle n'avait rien à se reprocher? Pourquoi, la police qui est censé représenter la justice, n'aurait elle pas apporter une aide à personnes en danger?
De plus, les médias nous précisent sans cesse que les deux jeunes gens n'avaient pas de casques mais se gardent bien de mettre l'accent sur le fait que la police soit partie de suite après l'accident!
L'accident fait l'objet d'une enquête qui est en cours...Et les médias le présentent comme une faute de la part des deux jeunes...Sans se baser sur des sources sûres, puisque l'enquête n'est pas finie!
On dirait que les médias cherchent à allumer un feu ( et je pense que ma métaphoer est ici assez explicite...) qui risque de vite prendre si cela continue ainsi!
Enfin, je ne comprends pas que l'on parle ainsi d'une affaire où il y a quand même eu deux morts! Je trouve cela indignant! vraiment! C'est comme si l'on disait , "tant pis pour eux, ils n'avaient qu'a être plus prudents, et puis après tout, ce ne sont que deux jeunes des banlieu..."
Vraiment je ne comprends pas que les médias utilisent la liberté d'expression, que l'on a la chance d'avoir en France, ainsi!
Ils cherchent à mettre les banlieux en colère, ils vont les mettre en colère! Je ne pense pas qu'il soit nécéssaire d'en arriver là...Après , forcément, on met tout cela sur les dos des jeunes, ils sont violents, n'ont aucun respect pour la justice (mais quelle justice? je vous le demande!), voila ce qu'est devenue la jeunesse qui était si modèle avant ( cela me fait quand même bien rire...) ...Et j'en passe.
Cependant, il faudrait peut être réfléchir avant de poser des faits qui sont imprécis et injustement traités...!!!
Je ne pense pas que répondre par la violoence soit une solution, je ne dis pas que la police était forcément en tort lors de l'accident...Je dis seulement qu'il faut attendre de voir avant de poser les faits ainsi!
Mais comment ne pas être en colère après une version si négative pour les deux jeunes gens, qui finalement deviennent presque une représentation de la jeunesse en général...Comment montrer que l'on est en colère alors que l'on sait que l'on ne sera pas écouté?

Je voulais simplement consacrer un article sur cet accident sur mon blog pour dire à quel point je pense, les médias abusent du pouvoir qu'ils ont sur la population, pour dire à quel point je trouve que la justice est à revoir et enfin, pour vous demander dans quel monde on vit!

Kanaillou, très en colère...

PS: J'ouvre le débat et si jamais vous voulez réagir à cet article, n'hésitez pas, laissez un petit mot...

jeudi, novembre 8

Jeudi 8 novembre 2007, just a few words about England...

Voyage de rues en rues, Londres sous les feuilles de l'automne...Se perdre, se retourner. Des rires, un souffle de vent, le ciel souvent bleu, les nuages rêveurs...Admiration, pensées, phrases et mots, silences reposés...Elle, moi, le soir, le midi...Un parc, un autres, ici et là, " just keep going and go on the left, next to the station..." , présences inconnues...


I don't what to say. We just had so much fun...It was a nice little travel and I was so glad to be with my aunt Claudine..."

Spoke english a little...and I think that I have just pictures to add to complete that little story of our four days in London...So , just have a look!
Oh, juste un conseil, si vous allez un jour à Londres, faites un tour à Camden Market...les puces les plus folles , les plus punk et babacool que je n'ai jamais faites...! Ca vaut vraiment le détour, rien que pour voir l'exentricité anglaise!!!












































































samedi, octobre 13

samedi 13 octobre 2007

Le lycée. Qu'en dire?

Une rentrée plûtot mouvementée, fatiguante et intenable. Mon emploi du temps est chargé et, j'ai bien cru que jamais je n'arriverai à tenir le rythme. Je n'en pouvait plus.C'était horrible mais passionant, difficile mais à découvrir.
Seulement voila, maintenant j'ai une forme d'enfer!
Je suis dans une classe vraiment géniale! Nous nous entendons tous bien, j'ai des profs pour la plupart vraiment bien (après c'est une histoire d'interêt pour la matière...). Et le français...Je sens que ça va être une si belle année!
Du côté des rencontres, plus ça va plus je connais de monde avec qui je m'entends bien. Je pense que je vais trouver de vrais amis, sur qui compter. Vraiment, je ne pensais pas que ça serait aussi bien, surtout après un départ si difficile!
Au niveau musique, je découvre plein de choses en ce moment (par exemple "the offspring", un groupe de rock que j'aime vraiment bien!).
J'ai envie de faire plein de connaissances. De découvrir un maximum de choses, de vivre de supers expériences...
Alors voila, il fallait bien que je raconte ma rentrée en seconde...Après tout, c'est l'occasion pour moi de tourner la page, même si ça a été dur, je prends un nouveau départ et je me sens mieux.
Je pars en angleterre avec ma tante cinq jours à la Toussaint , je suis impatiente!!!
L'année semble bien partie pour être super!!!

Kanaillou

PS: Je voudrais quand même dire que sans la classe géniale que j'ai , ça n'aurait surment pas été si facile, alors voila, merci...

jeudi, août 23

désolée

A cause d'un problème technique, j'ai du rédigé VACANCES ETE 2007 en deux parties. Ayant rédigé la première partie avant la deuxième, mon récit à la deuxième partie avant la première car les messages sont enregistré dans l'ordre chronologique.
J'ai essayé de changer, mais , cela m'est impossible à moins de recommencer ma première partie... Donc voila, je vous couseille de lire la première partie avant la deuxième, elle se situe juste en dessous, désolée....

Kanaillou

VACANCES ETE 2007 (suite)





Nous avons décidé avec Mon oncle, ma tante, mon cousin, ma cousine, des amis à eux , Maryse et Elisa ( sa fille) , Zahia , Rachid et mes parents ( ça en fait du monde !!!) de monter la montagne du Vauclin.
Nous arrivons avec Zaza, Rachid mes parents Maryse et Elisa. Les autres nous ont lâché. Ils viendront seulement pour manger, chez Gaspard. Ma grand mère, Maman-Any, prépare un repas pour le midi.
Nous commençons à monter. C’est rude. Il ne fait pas trop chaud mais il a plu la nuit dernière et sa glisse. C’est un chemin de croix. Chaque croix à un numéro. Il y en à 14. Je me demande si on va y arriver (dans mon grand esprit sportif… !) .
En route, nous croisons deux femmes « la montée et dur mais la vue est très belle, ça vaut le coup ! ». Ca va, nous ne sommes pas les seuls tarés qui se risque à monter la Montagne après un jour de pluie !
Arrivée en haut. C’est tellemnt beau. Nous restons un moment mais il faut bien redescendre. Ils nous attendent pour manger, il est déjà midi et demi.
La déscente fut catastrophique ! Nous avons pris le deuxième chemin possible et nous sommes descendus sur de la boue. Ca glisse !
Après beaucoup d’effort et de glissades plus drôle les unes que les autres, nous arrivons en bas, les fesses pleines de boue !
Il nous faut marcher le long de la route pour retrouver la maison de Gaspard. On en peux plus. Arrivés en bas de la montée qui nous emmène chez lui on demande à un passant pour combien de temps on en a. « Oh, environ 20 minutes ». Tout le monde est fatigué et ne rêve que de s’asseoir. On commence Et là, comme deux sauveurs surgis de nulle part , mon oncle et mon grand oncle (Hubert, le parrain de mon père) arrivent avec leur voiture et camionette. Les plus sales monte dans la camionette, les autres dans la voiture de mon oncle. La montée est longue et tout le temps en pente !!!
On est presque arriv » mais dans un virage en montée, la camionette est trop lourde. Les deux de derrière descendent, je reste avec Elisa. Ils arrivent peu de temps après nous.
Heureusement que Hubert et Tonton Jean Pierre sont venus nous chercher car on en aurait eu pour au moins une heure et quart de marche. 20 minutes, non mais je rêve !
Le déjeuner se passe bien. C’est délicieux. J’ai retrouvé une copine , la fille des amis de mon oncle et ma tante. Nous papotons tout l’après midi.
Fin d’après midi : nous passons en alerte rouge à 17 heures. Il est fort probable que Dean, un cyclone passe sur la Martinique. Nous partons de chez Gaspard à 17 heures (la cool attitude des Martiniquais, même en cas d’alerte rouge !!!). Tout le monde rentre chez lui. Nous, nous accompagnons ma grand-mère chez elle pour l’aider à mettre son appartement en conditions pour le cyclone (scotch sur les vitres et fermetures de toutes les fenêtres).
Je suis seule avec ma mère dans la voiture. Mon père est monté avec ma grand-mère. Le temps change brusquement, le vent commence à souffler, on se demande si on ne ferait pas mieux de rentrer au François et mon père de rester avec ma grand-mère. La tempête à bien l’air de commencer. A la radio, des gens appellent pour dire que tel arbre et tombé sur telle route, attention etc.
La radio , tout à coup dit : « Il est assez probable que dans une heures, il y ait des vents jusqu’à 160km /h . Je rappelle que nous sommes en alerte rouge et qu’il ne faut sortir, de préférence que pour des cas d’urgence . Nous passerons surement en alerte Violette dans le milieu de la nuit. » Ma mère s’arrête pour aller demander à mon père ce qu’on fait. Elle revient, on continue la route jusqu’à chez ma grand-mère et nous rentrons au François après. L’excitation laisse peu à peu place à la peur.
Nous rentrons au François. Sur la route, pas un bruit. Si, le bruit de la nuit. Tout est redevenu calme. Je suis soulagée d’être arrivée.


Il est peut être trois heures du matin. Le vent souffle comme je ne l’ai jamais entendu souffler. Ma mère est à côté de moi. Je lui ai demandé de rester, pour cette nui cyclonique. Elle est réveillée elle aussi. On va voir si papa dort. Il dort alors nous ne restons pas. De légères gouttes passent dans sa chambre.

Peut être quatre heures et demies, je me réveille à nouveau. Le vent souffle encore plus fort. Tout le monde est debout. Mon grand-père et mon père enlèvent les meubles de la chambre où dort mon père. Elle est inondée. Gibo, la femme de mon grand père, n’est pas rassurée, on descend lui faire un café, avec ma mère. A la lampe électrique et à la bougie. Il n’y a plus d’électricité.
Je vais me recoucher. Papa met le matelas qui était déjà là. Je n’arrive pas à dormir. Une des portes de la chambre tremble. C’est impressionnant. Effrayant. Je pense que je me suis rendormie vers cinq heures et demies.

Le lendemain matin, il pleut Il n’y a plus d’électricité. Ils sont tous réveillés, mon père ma mère, Gibo et Grand père . Ils ont nettoyé le salon qui était inondé.
Dehors, des cocotiers sont tombés, le prunier est cassé en deus et toutes les mangues de l’arbre sont tombées à terre. Il pleut. Avec ma mère, nous sortons ramasser les mangues pour ne pas qu’elles pourrissent.
Nous partons, une fois douché, voir si ma grande tante Gilberte n’a pas trop eu de dégats. Chez elles, je rencontre deux de mes cousines, qui sont en vacances. Je passe l’après midi avec elles.

Les dégâts sur la route sont impressionnants, les arbres sont déracinés, les poteaux des lignes de téléphones et d’électricité tombés. Sans parler des panneaux publicitaires tous arrachés ou tordus. Les champs de cannes sont couchés et les champs de bananiers sont dévasté.
Maman a raison, on dirait des champs de bataille après une guerre. La nature à mené une guerre et la Martinique a perdu, vu que le cyclone se dirige vers le Mexique, après avoir Devasté Haïti et la Dominique.

Nous avons passé nos dernières soirées en Martinique sans électricité (excepté la veille de notre départ car nous avons dormi chez mon oncle et ma tante à Fort-de-France où ils ont eu téléphone et électricité au bout de dix huit heures.). Ca leur donnait un certain charme. Nous mangions à la lumière de la bougie. C’était drôle et triste en même temps.



Et ma famille....

Tante Gilberte Cousine Laura Maman-Any, grand-mère






Maryse et Elisa Tati Suzy Mon parrain et sa fille






Grand-père et Gibo Tonton Jean-Pierre Cédric



Mardi 21 Août. C’est le départ. Après avoir enregistré (et s’être rendu compte que nous nous étions trompé dans les calculs, nous avions dix neuf kilos en trop) et être revenu avec ma valise de vêtement que nous avons dispersé plus tard, dans nos sac que nous prenions en cabine (nous avons laissé les bouteilles de rhum qu’il y avait dans ma valise en Martinique…), nous sommes allés mangé chez mon grand père. Le départ de chez lui fut émouvant. Gibo et lui étaient tristes qu’on parte. Nous sommes allés dire au revoir à Jean Claude (cousin de mon père) et Joëlle(sa femme), puis à ma grande tante Gilberte. A l’aéroport, nous avons acheté les derniers souvenirs (qui n’avaient pas pu être acheté à cause du cyclone…) et nous sommes partis, agitants la main pour dire au revoir à ma grand-mère, ma tante, mon oncle, mon cousin et ma cousine.



J’ai écris : « Débuts des départs. Début de la fin du mois en Martinique. Quelques photos et du champagne « Ca fait fin de colo (pas le champagne, les photos…) » et Zahia « C’est un peu ça, non ? ». Le calme est revenu. La tempête est finie. La mer retrouve peu à peu sa couleur claire, transparente.
Mon grand-père est en bout de table, en face de moi. Ses grosses lunettes de soleil. Souriant. La fin. La chute d’une histoire de plus ? Les bulles de champagne bu cul sec. A Aïna."








VACANCES ETE 2007

Tous trois, assis dans l’avion, nous nous envolons vers la Martinique. Nous nous envolons vers les vacances. Nous nous envolons vers le soleil. Nous nous envolons vers la plage, vers la mer.
Nous avons quitté Paris le 21 Juillet , me semble t-il. Après avoir raté l’avion une première fois, nous nous sommes demandés si nous partions tous les trois ou bien seulement papa.
Papa ne voulait pas partir seul. Alors, (Tant pis pour l’argent, on s’en occupera au retour…) nous partons. Tous les Trois. Et nous sommes assis, dans l’avion. Nous attendons et nous imaginons.
Maman dit : « Donnez trois choses que vous voudriez faire en Martinique. »
Je réponds : « Je voudrai apprendre à jouer de la guitare que j’ai emmenés avec moi,( J’avais bien commencé la première semaine mais après, je me suis arrêtée, dommage…) aller à la plage et euh…Manger des lentilles, non je rigole ! Ecrire. »
Papa : « Aller dans le nord. Je ne sais pas…Monter la montagne du Vauclun. Aller se baigner dans une des rivières du nord. »
Je demande : « Et toi , maman ? »
Maman : « Je voudrais retravailler sur mon manuscrit, aller faire une ballade dans le nord et me baigner. »
Alors nous voila , tous les trois, assis dans un avion en direction de la Martinique et en train de rêver à tout ce qu’on voudrais faire là bas. Dans le pays du soleil.



J’ai écris : Je suis assise dans l’avion. Quand je regarde par la fenêtre minuscule, je vois les nuages. Au dessus, le ciel est bleu. C’est comme la mer et le ciel. Une mer blanche, une mer de nuages. On a envie de les toucher. Savoir que ce ne serait que de l’air n’empêche pas de rêver. De les senti rcomme doux, frais. Un mélange de neige et de coton sur lequel on pourrait voler, rêver.



Les premiers pas sur la plage. Le sable est doux et chaud. Je me déshabille rapidement avant d’aller me jeter dans la mer bleue qui me tend la main. L’eau est bonne, je flotte. Je me sens bien. Toute légère. Je vais m’accrocher à ma mère. J’embête ma petite cousine. Je regarde mon cousin, en train de regarder les filles.
Je fais la planche. De quelles formes sont les nuages ? A quoi ressemblent-ils ?
Je me laisse couler, la tête sous l’eau, je ferme les yeux. Je m’amuse, je ris. Je fais couler ma petite cousine, je la jette à l’eau. Elle rit. Elle s’accroche à moi, comme un petit singe. « Je suis la plus belle et al plus intelligente du monde entier ! » n’arrête t-elle pas de dire. (Elle le croit en plus !!!). Plus tard, avant que nous partions, elle changera de slogan pour dire « Je suis la plus parfaite des plus parfaites ! ». Elle nous fait rire. Quel clown. Le soleil se couche. Il est temps de sortir. Le sable se colle à mes pieds encore tout mouillés. Je vais vite m’enrouler dans une serviette. Je regarde le coucher de soleil. C’est beau. La mer est belle.



Les petits déjeuners des vacances. Devenus presque un rituel. Mon père se levait tôt. Il préparait donc un jus avec 5 fruits. Un délice. Et tous les matins, un nouveau jus. On mange des fruits et des fruits. Avec du pain et un bout de fromage, en général. C’est bon. Et chaque matin. Des petits déjeuners de luxes. Soit tous les trois, mes parents et moi. Soit avec ma petite cousine. Soit avec mon cousin. Soit avec les deux, toujours en train de se chamailler, ne voulant pas admettre leurs torts et voulant avoir le dernier mot. Ils nous font rire mais au bout d’un moment agacent. Et puis, il y a des fois où sa fini mal. Heureusement, ils s’aiment beaucoup au fond . Ils ne s’en veulent pas. Ou pas trop. Et jamais très longtemps !


Il faut savoir que j’ai beaucoup lu pendant les vacances. Et de super livres en plus. Sachant que HARRY POTTER AND THE DEATHLY HOLLOWS allait sortir pendant que je serai en Martinique, je m’étais dit que je l’achèterai sur place. Mais il ne sort jamais en anglais en Martinique. Je ne veux pas attendre, je suis trop impatiente de le lire. Donc, je le commande sur internet. En attendant, je fini LA VOLEUSE DE LIVRE , de Markus Zusac ( Un très beau livres. J’ai adoré.) . HARRY POTTER arrive une semaine après chez mon grand père. Je ne le lâche plus. Je dévore. Et je prends l’habitude de lire tous les matins. Alors, une fois que je l’ai fini, je lis LE COMBAT D’HIVER, de Jean-Claude Mourlevat ( un auteur que j’aime beaucoup), le livre était génial. Puis, ENSEMBLE C’EST TOUT de Anna Gavalda (j’ai beaucoup aimé aussi, il parait qu’un film adapté de ce livre est sorti, il n’y a pas longtemps, avec Audrey Tautou…Je suis curieuse de le voir !) . Je fini les vacances avec LA SOURIS BLEUE, (j’ai oublié le nom de l’auteur…C’est anglais.). J’ai moins aimé, je l’ai lu plus lentement que les autres.
J’ai lu et lu. C’était reposant et, à chaque fois, je m’envolais avec les personnages dans leur monde. A eux.

J’ai écris : Le bruit de la nuit. Comme un rythme. Une musique qui se répète. De temps en temps, un autre son. Un son qui s’ajoute à la musique. Puis, juste le bruit de la nuit. Il pleut. La plues tombe légèrement. Oui, un bruit léger. Ou alors, le vent qui fait se balancer les feuilles des arbres. Qui les fait chuchoter, murmurer. On l’entend sans y prêter attention. Je n’y avais jamais vraiment prêté attention. Il y a beaucoup de choses auxquelles je n’avais jamais prêté attention. Je n’avais jamais remarqué à quel point la Martinique était belle. Je n’avais jamais remarqué à quel point, ouvrir la fenêtre en voiture et sentir le vent sur son visage était agréable. C’est doux. C’est comme si le vent cherchait à s’engouffrer dans la voiture, ne pouvant entrer que par la fenêtre. Le vent qui nous caresse.
Se laisser porter par le vent. S’envoler avec lui. Le sentir présent, à nos côtés.
Qui prête vraiment attention au vent ? Nous l’avons tous déjà rencontré. Il est toujours là. Depuis Toujours. Il est tellement là, que plus personne n’y prête attention, ou pas souvent.
Une présence invisible, un souffle léger qui vient nous caresser. Une sensation si agréable. Quelque chose qui nous accompagne. Le vent qui fait avancer. Le vent qui fait s’envoler.
Il avance en dansant. Selon sa musique, à lui.


La course des yoles. L’événement de Juillet en Martinique. Chaque Yole représente une commune. C’est comme le tour de France, en Martinique. L’ambiance est géniale. Chacun est scotché devant sa télé, à sa radio. Ou alors, ils se déplacent pour assister au départ ou voir l’arriver. C’est de la folie. Les yoles prennent la mer à 10 heures, le matin. Selon la durée de l’étape, elles arrivent plus ou moins tard. En général vers midi. C’est génial. Les gens rient.
Nous sommes allés sur un catamaran avec mon oncle, ma tante, mon cousin, ma cousine et mes parents pour une journée. Le principe était qu’on suivait le tour des Yoles et qu’après on allait manger et se baigner pour la fin de la journée. C’était 20 euros par personne (donné car il y avait le déplacement Fort-de-France/Depart des Yoles et Arrivée des Yoles /Fort-de-France ; le repas pour le midi ; la journée sur le cata et alcool à gogo compris. En plus, ils offraient un T-Shirt et une casquette !) A part quelques secousses à cause des vagues, toujours déchaîner entre le Diamant et la Table du Diable (deux endroits qui se trouvaient sur le trajet de l’étape) la journée à vraiment été bien. Sans compter, qu’une fois le bateau à l’arrêt, il y a eu de la musique tout le temps.

Pendant le tour des Yoles, j’ai aidé mon parrain dans son restaurant, qu’il avait rouvert (il est maintenant vendu…) spécialement pour l’occasion car il se situe au Marin. Devant la mer. C’était la ville ou les Yoles arrivaient ce jour là. Donc tout le monde regardait l’arrivée des yoles sur al mer. Soit du restaurant, soit sur la plage. A six heures du matin déjà, certaines personnes arrivaient avec leur glacière pour être sur d’avoir une bonne place pour l’arrivée. Une fois que les trois ou quatre premières Yoles sont arrivées, les gens commencent eux aussi à arriver. Je cours de partout, je n’en peux plus. Il y a tellement de personne à servir. Ma mère et Maryse, la femme de mon parrain, doivent jongler entre la caisse et le service. Il y a du monde en bas, au bar et en haut au restaurant et en bas, sur la terrasse. La viande est préparée en bas, les frites aussi. Mon cousin doit faire des allers retours dans les escaliers pour transporter les viandes d’en bas à la cuisine du haut. Le cuisinier et tout seul. Il n’en peut plus. C’est de la folie.
J’en suis sûre maintenant, je ferais les centres et les colos !!!



Nous avons passé une journée sur un petit îlet. C’était une journée organisée par des copains avec qui court mon oncle. Nous nous y sommes rendus en Kayak. C’était épuisant d’y aller et de revenir. Le Kayak, c’est vraiment du sport !
A l’aller, nous nous sommes arrêtés sur une petite île où il y avait des iguanes. Nous avons passé une très bonne journée et le Rhum a, encore une fois, coulé à flot !
Zahia et Rachid, des amis, n’étaient pas arrivés depuis longtemps. Ils sont venus passés deux semaines en Martinique. Nous avons fait pas mal de choses ensemble. Nous avons notamment, été visiter une distillerie. La distillerie Clément.

J’ai écris : « Il y a du monde. Du bruit. Mais pas un bruit agaçant, pénible. Une rumeur. Chacun parle, se raconte des histoires. Devant moi, quatre hommes. Ils ont ouvert un paquet de chips au milieu de la table. Ils boivent des bières. Entre deux chips, ils discutent, se regardent. Moments de silence.
Trois hommes viennent de se lever et de partir, juste derrière moi. Ils parlaient créole.
Plus loin, derrière les quatre hommes, unz femme est assise, seule. Elle a une bière devant elle. Un paquet de cigarette. Un briquet et un sac plastique posés sur la table. Elle lit un magazine.
Il y a des enfants qui courent, qui se chamaillent.
Tous attendent. De partir. Quelqu’un. Mais ils attendent. L’aéroport nous regarde. Ses portes s’ouvrent et se referment sur les gens. Il fait chaud mais ce n’est pas étouffant. J’attends. Nous attendons."


Avec Zahia et Rachid, nous avons été à Saint Pierre. Nous sommes arrivés le midi et, juste avant d’allé manger, nous sommes allés voir le cachot ( en même temps les ruines du Théâtre et de la prison) de Cyparis, survivant de l’éruption du Volcan la montagne Pelée de 1902.
Ensuite nous sommes allés mangé dans un restaurant très sympas. Puis, nous nous sommes baigné. L’eau est claire et si bonne. Il fait si chaud ! Je vois le sable à travers. Mes pieds et mes jambes aussi. C’est génial. J’ai l’impression que l’eau est différente. Elle est plus douce qu’à St Anne. Il parait que quand j’étais petite, j’étais venue à cette plage avec Colin, un presque-cousin (et frère de cœur !). Alors, forcement, je me sentais bien.



J’ai écris : « Il y a le bruit de la mer. Un va et vient de l’eau qui mouille le sable. L’eau qui se cogne et qui enveloppe les rochers. Le soleil est couché. Il fait noir. Les lumières du restaurant éclairent. Une faible lueur provient jusqu’ici. Jusqu’au bout. La lumière se reflète sur la mer, noire. Comme des diamants, des perles. Des éclats de rire. Conversations enflammées…
On se croit isolé. Au bout du monde. Seuls. Et avec nous, la mer régulière, et les criquets. Leur bruit régulier. Le ciel a des nuances de couleurs. Les nuages cachent les étoiles et laissent un voile noir sur le ciel déjà foncé. Au bout de la mer, on dirait que le ciel se confond avec elle. Sur le bout de terre, des lumières. Des points lumineux perdus au milieu de l’horizon. De temps en temps, sur la mer, une silhouette sombre. Un bateau, comme un fantôme. Et encore, encore le remous des eaux noires perlés de diamants de la mer.
C’est beau. Doux. Calme.





Défilés de l'été à Sainte Anne!




































dimanche, juillet 8

Dimanche 8 juillet 2007

Cher tous,

Il faut absolument que vous alliez voir Persepolis!
C'est un film vraiment génial.
Nous découvrons à travers le regard d'une petite fille qui devient adoléscente une partie de l'histoire irannienne. Avec des personnages qui ont chacun leur place, leur rôle dans l'histoire, nous traversons des périodes difficiles avec humour et tristesse mélangées! Ce film touchant et très réel nous entraîne et laisse à réfléchir!!! Le personnage de la grand mère est vraiment génial! Le film est très fidèle à la B.D (pour ceux qui l'ont lu. Je ne l'ai pas lu mais ma mère m'a affirmé que le film était fidèle!). Bref, un bon moment à passer.
Je vous invite tous à aller voir ce superbe film,
Kanaillou

mardi, juillet 3

Mardi 3 juillet 2007

J'ai cherché comment faire un "mini dossier " sur Tim Burton original, mais je n'ai pas trouvé. On peut avoir maintes et maintes informations sur lui. Du coup, j'ai réfléchi. Je trouve que cette idée de "mini dossiers" n'est pas si géniale que ça. Donc, je continuerai ce blog en parlant de choses et d'autres. Voilà.



Les vacances ont commencées et cet après midi, nous allons voir avec ma mère et ma grand mère Persepolis. Je vous dirai ce que j'en ai pensé! Jeudi, je devrais aller au Louvre avec ma grand mère, je suis impatiente.



J'ai regardé BIG FISH , de Tim Burton, (pour la deuxième fois) il n'y a pas très longtemps. Ce film raconte l'histoire d'une relation compliqué entre un père et son fils. Le père ayant construit sa vie sur des histoires, et le fils adulte, n'y croyant plus depuis longtemps, voulant seulement savoir la vérité sur la vie de ce père qui fut si souvent absent.

C'est un film vraiment touchant, plein d'humour et de poésie. Un film qui nous fait réfléchir sur la part du réel et de l'imaginaire dans les histoires que tous, aimions entendre lorsque nous étions petits, avant de nous endormir. Des histoires qui nous semblaient si vraies, des histoires de famille, si fabuleuses qu'elles soient.

Vraiment, c'est un film que je vous conseille!



Kanaillou

vendredi, juin 1

Vendredi 1 Juin 2007

En mai , fais ce qu'il te plaît...Et en Juin???

Je vous écris pour vous dire que je ferai mon premier "mini dossier" sur Tim Burton, je trouve ce réalisateur fantasitique... Je n'ai pas beaucoup de temps car c'est ma pause déjeuner!
Je vous laisse donc,

Kanaillou

jeudi, mai 31

Jeud 31 mai 2007

Hello!

Comme je ne peux pas (c'est une évidence) tenir mon blog chaque jour, j'ai essayer de trouver une idée qui me permetrai de le continuer, sans être obligé d'écrire tous les jours jour. Raconter ma vie, un jour comme ça , de temps en temps, sans "fil", ce n'est pas très interessant! Du coup, j'ai décidé de continuer mon blog mais sur des sujets précis. En quelques sortes, faire des "dossiers" sur certains sujets ( je ne sais pas, des auteurs, des civilisations, des groupes de musique, des artistes, des sujets d'actu etc). J'espère que l'dée plaira... Si jamais, vous voulez que j'écrive sur quelque chose en particulier, il faudra juste me laisser un petit mot sur le dernier message que j'aurai publié !
Je pense que j'écrirai un sujet par moi environ, le temps de faire des recherches... (si je peux, cela m'étonnerai, toutes les deux semaines...). Biensur, je continuerai de vous raconter chacun de mes voyages en détail!!!
Je pense que je commencerai avec un sujet sur...Je ne sais pas encore à vrai dire... Il faut que je réfléchisse!
Voila, bon, à bientôt,

Kanaillou

vendredi, mai 25

Quatre jours en Angleterre (du 17 au21 mai 2007)

Préface.

Un voyage se préparait au collège de Gassicourt. Plusieurs élèves partaient, l’impatience de la veille, l’arrivée au car, l’excitation totale, on monte. Nous partons, en route vers l’Angleterre !





Chapitre 1 : l’allée

Les écouteurs dans les oreilles, les rires, les discussions prirent place même s’il était minuit. Nous étions tous montés dans le car qui commençait son trajet. Après les derniers au revoir par la fenêtre, nous nous engouffrions dans les rues pour rejoindre l’autoroute. Il y avait cinq accompagnateurs, nos profs : Mesdames Perchax et Costaire, Messieurs Boussion, Cornec et Husson. Eric le chauffeur du car resta aussi avec nous durant le séjour.
Plus tard dans la nuit, encore quelques discussions mais le calme avait repris sa place. J’ai un peu dormi.
Il était quatre heures du matin lorsque nous avons pris le Channel qui nous fit passé sous la mer. Nous pouvions, si nous le voulions, descendre du car. Je suis restée.
Une fois en Angleterre, nous entamâmes la route qui menait à Londres…


Chapitre 2 : Le premier jour.
Une fois que nous fûmes à Londres, nous descendîmes du car et nous nous dirigeâmes vers un petit parc pour prendre notre petit déjeuner. Il était 8h00, heure locale.
Les petits groupes prirent place. Les rires et les discussions recommencèrent.
Après que nous eûmes finis, nous nous dirigeâmes vers le « cabinet war rooms », où Churchill s’était abrité pendant la seconde guerre mondiale. Le musée n’ouvrait qu’à dix heures et demie. Nous restâmes donc quelques temps dans un autre parc, plus grands que celui dans lequel nous avions petit déjeuné.




Une fois dans le musée, chacun de nous pris un casque et nous écoutâmes, à notre rythme la visite. Il était prévu que nous nous retrouvions à l’extérieur une fois la visite finie.
Une fois que le groupe fut réuni, nous allâmes voir la relève de la garde nationale. Ce fût cependant très difficile, un tas de personne était déjà en train de regarder, ce qui nous paraît , pour nous les touristes, un spectacle. Chacun se débrouilla comme il put pour prendre des photos, sur la pointe des pieds ou pour trouver un petit trou qui pouvait permettre de voir un tout petit peu.

Quelques temps après, nous retournâmes dans la parc où nous avions attendu l’ouverture du musée Churchill pour y manger.

L’après midi, nous fîmes une petite croisière sur la Tamise. Il n’y avait pas de commentaires et ce fut l’occasion de se poser un peu.

La visite du « HMS belfast » était la dernière de la journée et nous n’en pouvions plus. Nous traînions des pieds, la fatigue commençait à nous gagner.
Cette dernière visite se passa bien malgré la fatigue collective. Nous visitâmes le navire comme nous pûmes, en évitant de nous perdre. Une fois rassemblés, nous reprîmes le car qui nous transporta au point de RDV, là ou nos famille d’accueils, ou « parents spirituels » comme les appelaient certains vinrent nous chercher.


Chapitre 3 : Nos familles spirituelles

Dans le car, nous attendions tous avec impatience. Les familles arrivaient une par une. Chacun espérait la famille idéale pour ces quatre jours. Certains ne rêvait que d’un lit et d’un bon oreiller, d’autre de faire la fête jusqu'à n’en plus pouvoir. Les uns prévoyaient des batailles d’oreillers les autres ne tenaient qu’a dormir.
Les professeurs nous appelèrent par groupe au fur et à mesure que les familles arrivaient. Il y eut certain changement. Je partis à 20h15 à peu près. J’étais avec deux autres filles. Une était en cinquième et l’autre en quatrième. La dame qui nous accueillit vivait seule. Elle était très gentille. Le lendemain, nous nous racontions nos familles, nos soirée plus ou moins agitées dans le car qui nous emmenait à Londres. Tout le monde était content de sa « famille spirituelle ! ».

Chapitre 4 : Le deuxième jour

Cette journée fut beaucoup moins chargée que la première. Nous nous déplaçâmes en car. Pour commencer, nous visitâmes le « science Museum » où nous pûmes voir plusieurs thèmes : matériaux, physique, maths, aviation…
Plusieurs expériences étaient proposées aux visiteurs. Nous visitâmes ce musée par groupe, les mêmes que nous avions formés le premier jour. J’étais dans le groupe de « Mister Twix » (alias Monsieur Boussion ,ce surnom lui fut donné car il avait des twix dans sa poche de sac à dos.) avec plusieurs de mes copines. Nous allâmes déjeuner dans un parc, puis, l’après midi, nous visitâmes « Hampton court Palace » , qui fut l’une des résidences de Henry VIII, le roi qui tua ses six femmes.
Le soir, nous retournâmes dans nos familles d’accueil.


Chapitre 5 : Le troisième jour

Une fois de retour à Londres, nous recommençâmes nos visites. Le matin, nous allâmes à la tour de Londres, qui en fait est un château fort. Nous pûmes voir les bijoux de la couronne, la salle des tortures… (Entre autre).
L’après midi, une guide vint spécialement pour nous faire visiter Londres. Nous visitâmes la ville en car. Pour finir la journée, nous nous dirigeâmes vers le musée de Sherlock Holmes. C’était un musée consacré au fameux personnage de Sir Arthur Conan Doyle. Il était reconstitué au 221bis Baker Street, son lieu de résidence dans le roman. Toutes les salles étaient faites à partir du roman. Ce fut une visite courte mais amusante !



Chapitre 6 : Le dernier jour

Nous nous retrouvâmes le matin, comme tous les matins précédents, dans le car qui nous emmenait à Londres, après avoir dit « good bye » à nos familles d’accueil.
Le matin, nous visitâmes le « British Museum ». Impressionnant ! Je crois que ce fut ma visite préféré. Le musée était consacré aux civilisations anciennes. Nous pûmes voir les parties sur l’Egypte, les Aztèques, les indiens la Grèce et une partie où l’on pouvait voir un peu de plusieurs civilisations mélangées. C’était vraiment super !
Nous fûmes à pieds pour la journée car le bus devait s’immobiliser comme il roulerait de nuit, raisons de sécurité….
Le midi nous déjeunâmes dans un parc (encore un autre !). Nous allâmes ensuite visiter la « National Gallery » où nous pûmes voir des tableaux du XVIème siècle mais aussi des tableaux d’impressionnistes comme Monet, Manet, Van Gogh, Renoir… Certains tableaux étaient vraiment très beaux… !
Le moment le plus attendu de la semaine arriva…après midi shopping ! Nous nous divisâmes en plusieurs groupes (que nous choisîmes) et nous eûmes environ deux heures et demi de temps libre dans la grande rue commerciale de Londres : « Oxford Street ».

Chapitre 7 : le retour

Avant de prendre le car pour repartir, nous dînâmes à « Hyde Park », le plus grand parc de Londres.


Nous montâmes dans le car à 20h et nous prîmes la route. Vers minuit, nous arrivâmes au « FERRY », le bateau que nous prîmes pour faire la traversé. Nous fûmes obligés de descendre du car. Le bateau était très grand et luxueux ! Certain allèrent demander à gauche, à droite de la monnaie pour pouvoir faire des jeux, d’autre s’achetèrent des boissons au bar du bateau.
La traversé finie, nous remontâmes dans le bus. Je dormis jusqu’à l’arrivé à Mantes la Jolie, le lundi, à 5h30 du matin.

Epilogue

Chacun rentra chez lui après ce super voyage. Notre lundi était libéré pour que nous puissions nous reposer. Nous avons bien rigolé et, certain moment de ce voyage ne sont pas prêts d’être oubliés !