mercredi, septembre 17

Mercredi 17 septembre 2008

Ajourd'hui ça va. Je suis rentrée de cours avec le sourire, un cours d'histoire passionnant, en fait, un peu d'économie. Maman qui elle aussi a sourit. Un déjeuner avec plein de conversaion, papa qui arrivent et on rit tous ensemble? J'ai ce petit pincement dans l'estomac, ce petit truc que l'on a lorsque l'on est content. Il y a aussi eu moi essayant de faire l'équilibre avec Maman derrière qui essayait , comme elle pouvait de me rattrapper les pids puis la roue dans le jardin, après quelques hésitations. Je ris parce que je me demande comment je vais m'en sortir en gym! Enfin, j'aime bien, c'est l'important.
Trop de pensée qui fusent en ce moments, des questions qui se posent et qui ne trouvent pas de réponses, qui restent toujours là et qui persistent. Des questions sur l'avenir, des questions sur le monde présent et une réalité qui s'affirme de plus en plus...
Le matin, j'ai mon réveil. France Inter s'allume d'un seul coup et au fur et à mesure que je sors du someil, j'essaie de me concentré sur les informations, sur ce qu'il se passe. Alors je reste environ dix minutes à écouter, je vais dans la cuisine et je continue . Je prends ma douche, réflechissant à la crise éonomique en Amérique qui ne peut qu'avoir de grosses conséquences sur le monde, je me demande pourquoi ce petit garçon a disparu depuis la rentrée , ce qu'il a bien pu lui arriver en reprochant aux médias d'implicitement mettre sa mère en cause. informer, d'&ccord. Il est important que la population sache pour signaler si jamais on le retrouve mais de là à dire qu'il y a du flou dans cette affaire et que l'enfant aurait disapru avant le 10 ou 11 (je ne me souviens plus bien ...) septembre...C'est remettre en cause publiquement la parole de sa mère et l'impliquer dans cette affaire...Elle doit assez souffrir comme cela , elle n'a pas besoin d'être vu comme un être ignoble en plus...Si la police a des doutes, qu'elle fasse son métier. Je ne pense pas qu'il soit nécessaire de révéler ce types d'informations...
Enfin. Je me demande aussi comment Christine Lagarde peut affirmer avec grand calme que la France ne risque presque rien avec cette crise économique en Amérique , ces deux géants qui se cassent la figure et qui entraînent trop de monde avec eux. Et puis à comment la France va t-elle faire pour empêcher la crise économique, qui va payer pour sortir les banques de la galère, où va t-on trouver l'argent? Sur le dos de l'éducation? dans les impôts? Dans le salaire que tous les gens gagnent et qui n'ont jamais voulu avoir d'action et prendre le rsque de tout perdre?
Je susi consciente de ne pas avoir toutes les ressources nécéssaire pour comprendre et peut être que je me trompe à certains moments...C'est juste que je me demande...
Le cours d'histoire où on approche la crise de 29 m'apporte un peu plus d'éclaircissement sur la situation actuelle...Une envie d'en parler alors je demande à papa.
Et puis tout à l'heure, on pose la question de la Géorgie à notre prof de russe. Je ne comprends pas bien, c'est flou...
Et l'Education, où va t-on? Un ministre qui se fout très clairement de la population et qui ne cherche qu'à gagner plus de sous jusqu'à oublier le côté humain...( Y a t-il pensé une seule fois? Il faudrait au moins cela pour qu'il l'ai oublié...)
Alors voila, je me rends compte de tout cela, je me rends compte que "le monde va de travers" (comme dirait La rue Kétanou) et que je suis concernée aussi. Peut être trop de choses d'un seul coup. Et puis en plus de tout ça, il y a la question récurente "que vais-je donc bien pouvoir faire de ma vie?" jusqu'au questions existancielles "A quoi tout cela sert-il?" (bon vraiment dans les cas de grands désespoirs... :) ) et puis les questions d'un futur trop proche..."le bac... et après?" "prépa?" , "science politiques?" , "la fac?" .
Dans tout cela l'envie dévorante de découvrir et de comprendre derrière laquelle se cache une peur bien présente aussi...Une envie de culture, de savoir...
Et puis le boulot personnel pour les cours. LEs devoirs et les recherches. Moi et mes trente-six mille fiches que je rempli consciencieusement me rendant parfois compte que j'en fait peut-être un peu trop. La comédie musicale ui commence la semaine prochaine, une heure et demi le lundi soir, trois heures le vendredi soir. Heureusement, je n'ai pas cours le samedi, ça tombe bien. Puis le violon aussi , qui va bientôt reprendre...Cette formation sur un an sur l'image documentaires , cette formation qui à l'air si passionnante, un samedi par mois et deux stages , un pendant les vacances de la Toussaint, l'autre pendant les vacances de février... Une formation où il n'y a que 28 places sur 7 établissemnts (dont une ou deux classes sont concernées à chaque fois) et cette envie de la faire. De pouvoir accès à toute cette culture, de pouvoir rencontrer des artistes...
Quelques fois l'envie de tout fair eà la fois et d'autres fois l'impression que non, jamais je ne pourrais, je n'y arriverais... Alors quelques fois, juste moi et la musique, un moment allongée où j'essaie de ne plus penser à rien en regardant le plafond.
Des questions qui se posent sur les relations. Et puis les moments où j'ai envie de faire autre chose. Où je ceuille des pommes , où on épluche celles qui sont abîmées pour faire de la compote. Les moments où je rêvasse dans une librairie à tout ce que je voudrais lire ou devant l'armoire de cinéma où l'on peut emprunter des films , me demandant ce que je pourrais bien prendre et ayant envie de voir des films et des films pour me faire une culture cinématographique que certains ont déja...
Alors voila. C'est un peu tout cela en ce moment. Je me suis peut-être un peu emmélée, les mots ont courrus et mes doigts sur le clavier ne s'arrêtent plus. Mais voila dans ma tête c'est un peu emmélé aussi. Les questions et les pensées, les réfléxions fusent, se croisent, courent et ne s'arrêtent jamais.
C'est un peu ça dans ma tête, en ce moment.
Mais aujourd'hui ça va, ma journée se passe bien pour l'instant, je souris et je ris. Les questions qui se posent veulent sortir et je discute avec mes parents, avec mes amis, avec des connaissances, avec mes profs...Et je me dis que j'ai encore un peu de temps, que ça viendra.
J'étais juste partie pour écrire mon sourire que je veux partager aujourd'hui et puis voila, tout est parti d'un seul coup! :)
Peut-être besoin d'écrire pour essayer d'y voir un peu plus clair...
Je vous dis à bientôt, peut-être avec quelques réponses, mais sûrement avec d'autres questions...

Kanaillou

PS: J'avais oublié de dire que je trouvais vraiment le capitalisme de plus en plus dégeulasse comme système. J'en avais une vague idée avant mais maintenant je vois vraiment ce que c'est et ça me révolte. Comment peut on penser qu'à sa tronche à ce point là? Et où est la solidarité? Dans la gauche qui n'arrive pas à s'unir pour être plus forte?
Dans quel monde vit-on ?
Comment réussir à avancer lorsqu'on est seul...? (ou qu'on ne pense qu'à s'enrichir sur le dos des autres!)
Bon voila, petite parenthèse de questions et de révoltes politiques...Cette fois je m'arrête!

samedi, septembre 6

Samedi 6 septembre 2008

La rentrée s'est bien passée. Contente d'être en L sans vraiment m'en rendre compte. Un emploi du temps super et des profs géniaux. Une classe de 20. Alice. Que pouvais-je demander de plus?

La rentrée s'est bien passée. Oui. Et pourtant, je me pose des questions, je me demande. Trop de choses qui courent dans ma tête et qui ne s'arrêtent jamais. Et puis je suis fatiguée, reprendre c'est dur. De nouveaux visages, des informations qui fusent et nous, pas encore bien installés. Et puis on commence, comme ça, sans avoir le temps. Comme toujours. Normalement je ne suis pas aussi fatiguée. Sûrement le stress qui retombe d'un seul coup.
Une dispute et puis des tas de questions sur les relations. Je me suis trop investie , peut-être. Mais que seraient les relations si l'on avait peur de s'y investir, craignant d'être bléssé? Je ne pense pas avoir eu tord. Après tout, la vie et faite de moments comme ça, des moments où l'on ne sait plus trop , où l'on s'interroge. Des moments où ça dérape.
Je ne sais pas. Peut-être un peu confuse. Un peu peur, peut-être. Quelques doutes, hésitations.
Je ne sais pas.
C'est ça, je ne sais pas. J'avais juste envie d'écrire les choses incompréhensibles ou peut-être trop compréhensibles qui se battent dans ma tête. Un trop plein d'envies et d'idées qui se transforment en une peur de ne plus savoir faire.

Kanaillou, soucieuse.

mardi, septembre 2

Mardi 2 septembre, VOYAGE EN ANGLETERRE, août 2008 (suite et fin)

Il est 9h47. Je suis en peignoir, je sors d'un bain qui a duré plus d'une heure, entre lecture, lavage de cheveux, relecture avec un après shampoing dans les cheveux. Et puis là, je me suis dit qu'en peignoir, c'était pas mal. Alors j'ai mis la musique doucement dans ma chambre, parce que maman dort.
Ce week end, nous sommes allés à l'anniversaire de Matthieu, un cousin retrouvé récemment qui fêtait ses 18 ans. C'était très sympa d'être là bas, et puis, maintenant c'est le grand sujet de conversation. Les 18 ans. Ca nous passera... Hier, j'ai revu Sylvia, Killian et Alice. Ca m'a fait du bien de les revoir. Aujourd'hui c'est l'anniversaire de Florianne. Alors je voulais écrire un petit mot pour elle, pour le lui souhaiter une fois ici, mparmis tant d'autre ailleurs.
La rentrée, c'est demain à 8h30. Alice et moi sommes dans la même classe. Trop contentes. Alors hier, impossibles à tenir, deux histériques impatientes. Aujourd'hui elle vient manger le midi à la maison, à 14h15, Marie, ma voisine rentre en seconde et elle est sûrment dans a mêm classe que Flo alors, on accompagne les deux!
Excitation, impatience. Je ne tiens plus, il faut que je bouge.
Hier soir, on a été chercher Amélie et Charlotte qui rentrait du Laos et qui avait eu un petit problème d'hébergement pour la nuit de dernière minute. Dans la voiture, elles étaient ailleurs, si fatiguée. Ce matin, je me suis levée pour prendre le petit déjeuner avec elle, elles repartaient tôt à Lyon et la prochaine fois que je verrai Amélie, ce sera en Irlande. Alors, je voulais prendre le petit déjeuner avec toutes les deux. Encore des pouts de voyages, glissés entre la baguette, les croissants , la confiture , le jus d'orange et le thé. Un peu fatiguée mais tellemnt excitée. Je me suis dit qu'un bain me détenrait; Alors, je me suis allongée dans l'eau chaude, j'ai attrappé The Da Vinci Code, que j'avais commencé en Angleterre (une folle envie de lire en anglais...) et bien avancé aussi. Il ne me reste que 150 pages, je voudrais le finir. Enfin, j'en ai profité pour me laver les cheveux, pour être toute belle pour demain...Demain. Ah!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Je ne tiens plus. Je dois m'occuper et en même temps, j'ai de l'apréhension. La rentrée quoi.
Bon, entre les 18 ans de Matthieu, la préparation du déjeuner de rentrée pour les profs...Ah oui, papa devait préparer le déjeuner de rentrée pour les profs qui reprennaient hier du coup, dimanche après-midi, on s'y est tous mis à la maison! Bref, je disais, tout cela ne m'a pas laissé le temps de finir le récit de mon voyage en Angleterre. Alors puisque je suis sortie du bainb, que le repas de ce midi est déjà prêt ( reste de lundi midi...) et qu'alice ne sera pas là avant midi, j'ai enfin le temps de me poser et de finir.
J'en était au troisième mercredi. Je l'ai trouvé un peu triste à vrai dire. La veille, j'avais été malade et je n'avais pas été avec les autres. J'avais passé la journée à dormir et à écrire mon courrier. Donc le mercredi, je n'étais pas en très grande forme, quoique mieux. Enfin, nous avons été au bord de la mer. J'étais si contente à l'idée de revoir la mer. Puis cela devait être un endroit avec des attractions, pas un grand parc mais bon, on était contents d'y aller. Quand on est arrivé, on a trouvé une toute petite fête forraine, avec des vieux manèges et pleins d'enfants de 5 à 10 qui souriait , regardant leur parents , ou leur tenant la main. Mais voila. Le ciel était gris, cet endroit tristes avec toutes ses maisons identiques . La plage était tristes. La mer grise et des éoliennes en plein milieux. Le sable pas très propre. Drôle d'ambiance. Puis on est allé à la piscine. C'était infernal . C'était une grande piscine avec des tobbogan, mais remplies. On se "nageait" dessus, les enfants hurlaient et sautaient, courraient...C'était fatiguant.
Je n'en pouvait plus. Enfin, tant pis. Je n'étais sûrment pas en très grande forme.
Tout ce qu'on à fait, tous les jours, tout cela s'est enchaîné puis on est arrivé au Vendredi. Je savais que c'était ma dernière soirée avec Donna. L'estomac noué, je ne suis pas allée me couchée. J'étais excitée comme une puce, je n'arrêtais pas de parler et Donna riaient. On a discuté, puis regardé un film, puis rediscuté...Jusqu'à 4h du matin où j'ai enfin décidé d'aller me coucher...Le lendemain, il était onze heures et demies quand je me suis levée. Donna dormait encore et j'ai fait ma valise. La chambre, en bazarre s'est vidée petit à petit de toutes mes affaires. Nous avons "luncher" ensemble avec Donna et je suis allée rejoindre les autres un peu à Old Market Square, pour notre dernier samedi. J'ai échangé l'équivalent en euro d'une livre avec Hugo pour aller acheter une carte pour Donna et Aïna en a pris une pour Joanne. Je suis rentrée à six heures. Une amie de Donna est arrivée juste après moi. Mon dernier "dinner" en Angleterre. Donna avait pris un "take away" et j'ai mangé chinnois. Puis ça a été l'heure de partir. J'ai rendu les clés à Donna, les quelques livres et le réveil qu'elle m'avait prêté. Je suis descendue jusqu'à l'arrêt de bus . Elle m'a accompagné. La gorge nouée, on a rien dit, presque rien. Donna avait les larmes aux yeux, j'essayais de ne pas pleurer. J'ai réussi. J'ai souri. Le bus est arrivé, je l'ai appelé. " non, reste avec moi, laisse-le partir" on a un peu ri quand-même. Le bus n'est pas parti tout de suite. J'ai fais un dernier "hang" à Donna et je suis montée , lui disant que je l'attendais en France. Le bus ne voulait pas partir , c'était horrible. Elle restait dehors et on se regardait par la fenêtre. Un fois que le bus est parti, après un dernier sourire, je me suis laissée aller à penser...Donna m'avait donné The Da Vinci Code. J'aurai le temps de le finir après. Pas envie de lire.
Avec Aïna on avait prévu de se mettre en robe pour notre dernière soirée, quoiqu'il arrive. On était contente parce qu'il n'avait pas plu de la journée, alors cela s'nnoçait bien. Normalement, on aurait dû retrouver les autres à Old Market Square, aller dans la fontaine, et trempé, aller se changer dans les toilettes du Mc Do' ...
On s'est préparé rapidement avec Aïna et on est parties. On a dit à Joanne qu'on serait là vers 23h30. ON était en retard. Dans le bus, on a rencontré Elise qui s'était trompée de bus. Une demi heure qu'elle était là. Arrivées à Old Marquet Squanre, personne du groupe n'était là. On les appelle. "on est à l'arrêt de tram de Yoan..." On ne comprend pas tout mais on y va. Puis le partable qui sonne . "dépechez vous, il arrive dans deux minutes" . Alors là, on court. On arrive essouflées, le tram n'est pas passé. Il arrive, on monte. On demande à tout le monde ce qu'on fait. On finit par apprendre que Yoan avait invité quelques personnes à aller chez lui, sa famille d'accueil n'étant pas là...Et puis s'était le dernier soir. Je regarde autour de moi. Certains sont déjà arriver parce qu'ils ont eus le tram d'avant. Presque tout le groupe est là quand on arrive. Il en manque deux. J'ai un peu honte, quand même. On débarque tous, sans prévenir, sans que la famille sois là si il se passe quelque chose, c'est Yoan qui prend. Je l'avais dit depuis le début. Je ne sentais pas bien cette idée. Alors là bas, ils ont prévu de quoi faire la fête, coca-vodka, bierre et je ne sais quel autre mélange. Plus les pop corn. Je ne me sens pas très à l'aise. Deux s'en vont, parce qu'il doivent rentrer tôt et qui ne veulent pas se mettre dans de telles situations. J'esaie de ramasser les bouts de pop corns qui tombent sur le tapis. Je suis en colère que la soirée tourne comme ça. On part , un premier groupe pour avoir nos bus à Old Marquet Square à 23h (il y a une demie heure de tram...). On rate le tram. Deux sont soûls . Aïna un peu pompette. Je suis très enérvée. Soirée pourrie alors que ça devait être une de nos meilleurs soirées. Deux ont raté leur dernier bus et ne savent pas cmment rentré chez eux. Arrivée à Old Marquet Square, on trouve un bus qui va chez Aïna, on embarque Manon parce qu'il passe par chez elle...Elle ne marche plus très droit. On a réussi à avoir Joanne pour la prévenir qu'on serait en retard. Elle n'a rien dit, ce n'est pas grave. Enfin, j'ai un peu d'inquiètude à laisser Manon rentrer seule chez elle mais après je n'ai plus de bus si je la raccompagne. Enfin, on arrive finalement chez Joanne qui sort pour la nuit. Tellement déçue de ma soirée et énervée du compartement de certains. Enfin, je me jette sur la nourriture, en regardant la télé pendant qu'Aïna est en haut, sur msn. J'ai engloutit du riz, un reste de pomme de terres, un paquet de chips, du maïs et des harricot verts et un demi paquet de gâteaux. J'ai mal au ventre et je m'en veux. Alors je fais des abdos. Je suis fatiguée, Aïna n'a pas prévue de dormir et on doit se lever à 4h45 pour partir , le matin. Enfin. Il y a un moment où je monte, je n'entends plus rien. Aïna est allongée sur le lit et dors. Je la rejoint , je mets le réveil et je m'endors. Quelle soirée! Au moins, je ne l'oublierai pas!
Le lendemain matin, on retrouve les autres sur le parking. Au revoir à Joanne. C'est vraiment la fin. Dans le bus, on ne dort pas beaucoup et pusi à la gare, on doit attendre. C'est long. On profite de nos derniers moments ensemble. L'eurostar, personne ne dort. Puis sans que l'on se rende compte, c'est les aurevoirs, quelques pleurs, des sourires et on retrouve nos familles. Contente de revoir mes parents et ma tante. Enfin, on peut raconter. Maurane n'est pas très bavarde , elle fait la tête. Aïna et moi on arrête pas. Chez tati, je donne leur cadeaux à tous puis sous , on repart. J'avais prévu de sortir avec les deux fils d'un ami à papa qui étaient là. C'était leur dernière soirée, du coup maman m'avait demandé si je pouvais aller faire du bowling avec eux. Manque de bol, le bowling est fermé quand on arrive, alors on va au cinéma , il n'y a rien. On finit par aller manger une pizzas puis on revient. Quand je vais me coucher, je n'en peux plus. Il est minuit passé, j'ai dormi à peine trois heures la nuit dernière. Quelle journée!
Alors voila, mon voyage en Angleterre est fini, je ne me rends pas bien compte à ce moment là. J'ai du mal à attérir. Je suis encore là bas, avec tous, posé sur les marches à Old Marquet Square, ou philosophant dans le bus, pensant à la rentré ou encore apprenant à se connaître.
Je suis si contente d'avoir fait ce voyage, je pense à Donna et à tous ce que j'ai vécu en trois semaines. Envie d'autres voyages, surtout quand je vois Amélie et charlotte revenir du Laos hier. Envie d'aventures, de découvertes, de rencontres. Encore plus. Envie de dépasser les frontières.
Là , je repende à la rentrée. Trop envie d'y être. Je souris dès que je pense que je suis en L, demain. Je sens que cette année va être géniale. J'ai profité de mes vacances, de chaque jours et de chaque moment. J'ai varié repos et aventure. C'était vraiment bien. Un chapitre qui se finit, c'est un peu ça.
Je suis toujours en peignoir...Je vais peut être aller m'habiller!

A bientôt,

Kanaillou