A Gérard.
Aujourd'hui.
Aujourd'hui je voudrais souffler un adieu léger.
Souffler au delà des maux et des mots éparpillés qui perdent leur sens à force d'être et de ne plus être.
Souffler pour me détacher d'une réalité brutale, d'une vie dénuée de sens.
Souffler sur les blessures, celles qui restent parce-qu'on a été écorché.
Etre là et hurler à la vie qui est. Qui est, seulement.
Aujourd'hui, je voudrais murmurer un adieu.
K.
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